https://journals.openedition.org/remmm/19221
→ Une recension de l’ouvrage de Najla Nakhlé-Cerutti tiré de sa thèse de doctorat sur le théâtre palestinien (prix de thèse de l’INALCO en 2017 et 3ème prix de l’IISSM), par Pauline Donizeau.
Najla NAKHLÉ-CERRUTI, La Palestine sur scène. Une expérience théâtrale palestinienne (2006-2016), Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2022.
https://journals.openedition.org/remmm/14397
→ Par l’étude des procédés littéraires, esthétiques et performatifs, Najla Nakhlé-Cerutti interroge les conditions d’existence des Palestiniens dans le contexte territorial qui leur est spécifique.
Najla Nakhlé-Cerruti, « Raconter le territoire sur la scène, dépasser les frontières par la scène », Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée [En ligne], 147 | 2020
→ Sur la plateforme de films documentaires “Tënk”, une série intitulée “Palestine, soulèvements cinématographiques” constituée par les chercheuses Charlotte Schwarzinger et Marion Slitine. Cette programmation propose un autre regard sur la Palestine, loin de l’urgence et de la violence, plutôt par le quotidien et l’intime, un “cinéma archive contre l’effacement”.
https://sciencespo.hal.science/view/index/identifiant/hal-02320129
→ Un article de l’historienne Stéphanie Latte Abdallah qui aborde les enjeux, les formes et la généalogie de l’entrée des Palestiniens dans le champ photographique et historique. C’est une réflexion sur les images (photographies, films) produites sur les réfugiés palestiniens depuis 1948, en partant de celles de l’humanitaire. Ces images sont en effet les seules à retracer plus d’un demi-siècle d’exil et témoignent de la spécificité de l’histoire des réfugiés palestiniens car elles sont le lieu et d’une certaine façon déjà le résultat d’une confrontation politique, historique et culturelle.
→ Historiographie rapide du cinéma palestinien du début du XIXème siècle à nos jours : retour sur l’invisibilisation constante des Palestiniens à et par l’image.
https://journals.openedition.org/ateliers/9053
→ Un article de Laure Fourest sur le recours aux archives (comme preuves) dans le cinéma palestinien. Comment le recours à ces images permet-il de participer au débat historiographique qui sous-tend et détermine en partie le conflit israélo-palestinien ? Dans le contexte palestinien où il n’existe pas d’institution archivistique officielle, les archives sont porteuses d’enjeux particulièrement saillants, donnant lieu à un véritable « mal d’archive ».
https://hal.science/hal-03059306
→ Un article de l’anthropologue Marion Slitine. Contrairement à l’image réductrice souvent véhiculée sur Gaza, cet espace confiné témoigne d’une grande vitalité artistique. Depuis les années 2000, des collectifs d’artistes se sont constitués et de nombreuses expositions rythment fréquemment l’année culturelle, sans parler de la visibilité croissante de certains artistes gazaouis dans les arcanes des mondes de l’art international.
https://thebaffler.com/latest/at-the-threshold-of-humanity-kattan
→ Un article de l’écrivain Karim Kattan sur sa manière de vivre la situation aujourd’hui en tant que Palestinien vivant en France, dans lequel il aborde la question de la déshumanisation des Palestinien.nes.
https://journals.openedition.org/remmm/8229
→ Un article de la chercheuse Anaïs Farine sur trois études de cas d’artistes palestinien.nes qui s’emparent de la carte dans leurs oeuvres pour dépasser les frontières artistiques et les représentations de l’espace géopolitique.
→ Une Masterclass de Khadijeh Habasheh, une chercheuse et cinéaste en charge des archives du patrimoine cinématographique palestinien (pillé et détruit en 1982 à Beyrouth par l’armée israélienne).
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
CLES (1 avril 2024). Le cinéma, le théâtre et les arts. CLES. Consulté le 11 décembre 2024 à l’adresse https://cles.hypotheses.org/1226